Les messages de l’au-delà

 

Les différentes catégories de voix enregistrées

Sarah Estep, qui est [aussi] une pionnière de la TCI  [Transcommunication Instrumentale] auditive, a fondé en 1982 l’Association américaine du phénomène des voix électroniques.  S’inspirant de l’approche publicisée par Jürgenson puis Raudive, Estep a reçu plusieurs milliers de messages en utilisant un simple magnétophone. Elle a divisé l’ensemble de ces messages en trois catégories:

1. Classe C : c’est à cette catégorie qu’appartiennent la plupart des messages. Souvent difficiles à interpréter, ceux-ci sont constitués de faibles murmures et ils ne peuvent être entendus qu’avec des écouteurs;

2. Classe B : ces messages sont plus forts et plus nets, et ils peuvent être fréquemment perçus sans écouteurs;

3. Classe A : ces messages sont forts et distincts, et ils ne nécessitent pas d’écouteurs.” (2)

 

Ce que nous apprennent les défunts

Résumé des informations contenues dans les messages les plus clairs reçus par Sarah Estep (1) :

  • Les relations familiales peuvent se poursuivre, si cela est souhaité. Pour ce faire, des enseignants instruisent ceux qui veulent communiquer avec la terre. Cependant, les appels fréquents de ceux demeurés sur terre fatiguent les défunts.
  • Dans l’au-delà, les défunts mènent des vies actives et productives, et ils peuvent poursuivre les mêmes activités que sur terre (sciences, arts, etc.). Leur fonction est celle qui convient le mieux à leurs aptitudes et à leur caractère.
  • Les défunts ont la possibilité de visiter plusieurs endroits, dans l’au-delà, avant de choisir l’un d’eux. Ils vivent dans des maisons.
  • Des médecins et des infirmières y aident ceux qui en ont besoin.
  • Certains défunts continuent à adorer Dieu et peuvent appartenir à une “Eglise”.(2)

 

 

1. Sarah Estep, Voices of Eternity, Fawcett, 1988
2. Dr Mario Beauregard, Un saut quantique de la conscience, pour se libérer enfin de l’idéologie matérialiste, Guy Trédaniel, 2019, pp 146-147

 

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