Les appareils sur lesquels des images d’orbes sont prises

 

Les orbes ne sont pas visibles à l’œil nu, sauf pour les personnes pourvues de capacités médiumniques (c’est le cas de nombreux jeunes enfants). La majorité des orbes sont en fait observés sur des photos et des vidéos.

 

Plus de photos prises avec des appareils compacts

L’arrivée des appareils numériques a multiplié les images d’orbes et le plus grand nombre de photographies de ces objets a été pris avec des appareils compacts.

Il y a plusieurs années, les spécialistes de l’image se sont interrogés si la rétrodiffusion de la lumière du flash vers l’appareil ne pourrait pas expliquer le phénomène, puisque le flash des appareils photo bons marchés est souvent situé très proche de l’objectif. Une lumière réfléchie a dès lors bien plus de probabilité d’être photographiée par inadvertance sur ce type d’appareil. Il faut cependant relever que des images d’orbes sont prises par tous les types d’appareils. S’il y en a plus avec des compacts, c’est sans doute dû au fait qu’ils sont nettement moins chers que les appareils reflex et sont donc beaucoup plus répandus au sein de la population. En outre, les appareils reflex permettent d’obtenir de meilleures images d’orbes grâce à leurs performances supérieures à celles des compacts.

Il serait intéressant de savoir aujourd’hui si on a également une hausse des images d’orbes consécutives à la banalisation des smartphones. Personnellement la majorité des photos d’orbes que j’ai obtenues l’ont été sur mon smartphone.

 

Les appareils numériques et les orbes

On l’a vu, il y a nettement plus d’images d’orbes prises avec des appareils numériques qu’avec des argentiques. L’arrivée du numérique a en effet permis de multiplier le nombre de photos. On est en effet bien plus tentés de « mitrailler » qu’auparavant, n’étant pas freinés par le coût du développement.

Mais les appareils numériques ont aussi des capteurs plus sensibles au spectre lumineux proche de l’infrarouge (dès 700 nm). Est-ce que des formes de vies invisibles à l’être humain résideraient en nombre à nos côtés dans l’infrarouge sans être perceptibles par nos sens normaux ?

 

L’aide des traitements d’image

On peut ajouter que l’arrivée sur le marché de logiciels permettant de traiter facilement les images a aussi permis d’augmenter le nombre d’orbes observés. Ces logiciels courants permettent d’isoler les orbes, de jouer sur les contrastes et la luminosité, ainsi que d’inverser les couleurs pour faire ressortir leur contenu. Des opérations simples qui font souvent ressortir des orbes qui seraient normalement passés inaperçus ou permettant simplement de confirmer la présence de simples poussières sur les photos.

Pour terminer, il faut relever que plus l’œil s’exerce à détecter les orbes et plus on obtient des résultats intéressants.

 

Alexandra Urfer Jungen

 

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