Les VSCD pratiques et de protection

 

 

Les VSCD pratiques

«  On regroupe sous cette appellation « les expériences lors desquelles les défunts semblent transmettre à leurs proches une information matérielle dont ils n’avaient pas connaissance auparavant.

De ce fait, ces contacts s’intègrent dans la catégorie des VSCD probants. Il peut s’agit de l’emplacement d’un livret de famille, d’une police d’assurance-vie souscrite à l’insu des proches, de titres de placements en Bourse gardés confidentiels, ou d’autres documents dont les proches ont un besoin urgent. Ces contacts peuvent survenir quand le récepteur cherche frénétiquement un document qu’il n’arrive pas à localiser ou au contraire quand il ne se doute de rien. » (1)

 

Les VSCD de protection

 » Ils surviennent en situation de crise ou de danger imminent et ont pour conséquence d’éviter un accident, un incendie, une agression, une noyade, etc. Ces expériences ne se produisent pas quand un danger a déjà été identifié par la personne concernée. Par exemple, une personne qui s’est rendu compte que sa maison est en feu et qui court chercher un extincteur ou est en train d’appeler les pompiers ne vivra pas ce type d’expérience. Ces VSCD ne servent pas à gérer une situation de crise, mais bien à en prendre conscience.

Des cas de jeunes enfants en péril sont relatés qui ont pu être sauvés in extremis grâce à un avertissement transmis par différents types de VSCD. Parfois des problèmes de santé non diagnostiqués ont pu être identifiés à temps grâce au VSCD. » (1)

 » C’est l’un des rares cas dans lequel les défunts peuvent se manifester tardivement, c’est-à-dire plus de cinq ans après leur mort. les études montrent en effet qu’en général, ils ne se manifestent plus au-delà de cinq ans, sauf s’il y a danger pour une personne vivante et que le défunt juge utile de  l’en prévenir. Il y a tout un ensemble d’exemple dans le livre du couple Guggenheim, « Hello from Heaven ! » (Bonjour du Ciel !) (2). Dans cet ouvrage est cité le cas d’une personne en train de conduire qui entend tout d’un coup la voix d’un proche défunt qui lui dit : « Stop ! Arrête-toi tout de suite ! ». Cette personne s’arrête au moment et où moment où elle le fait il y a une voiture qui traverse la voie en brûlant les priorités. Si cette personne n’avait pas écouté le défunt, elle serait morte ! Un autre cas concerne une personne qui est en train de s’occuper à l’intérieur de sa maison jusqu’au moment où il y a une voix , qu’elle identifie comme étant celle de sa défunte mère qui lui dit : « Ton enfant ! La piscine ! « . Elle va voir : l’enfant avait déjoué la sécurité de la piscine, avait soulevé la bâche, était entré dans l’eau et était en train  de se noyer ! Heureusement l’intervention sauva l’enfant autrement promis à une mort certaine.

Il existe beaucoup d’autres histoires comme celles-là où les gens sont prévenus d’un danger. quand cela arrive, et compte tenu des témoignages dont nous disposons, il semble important d’écouter les voix des défunts parce qu’elles sont toujours justes. » (3)

 

Les messages donnés aux enfants

 » Un autre exemple montre qu’il vaut mieux écouter un enfant si celui-ci « entend » un défunt prévenir d’un danger. Par exemple, si un gamin dit à sa mère : « J’ai entendu grand-père [qui est mort] et il a dit à papa : « Fais attention ! Ralentis ! « . La mère peut ne pas en tenir compte et se dire « Après tout, ce n’est qu’un enfant »… Pourtant, dans la matinée, elle apprend que son mari vient d’avoir un accident de la route qu’il aurait pu éviter en roulant moins vite… Bref, il faut écouter ces messages, surtout s’ils viennent des enfants. Il ne faut surtout pas dire aux enfants qu’il s’agit de leur imagination, parce que ça les coupe de leur intuition. ça leur fait perdre confiance dans leurs moyens de perception extra-sensorielle; il faut vraiment écouter les enfants !  » (3)

 

1. Evelyn Elsaesser, Contacts spontanés avec un défunt, une enquête scientifique atteste de la réalité des VSCD, Editions Exergue, 2021, pp 88 et 93
2. Guggenheim B., Guggenheim J., Hello from heaven, Bantam Books, 1996
3. Dr Olivier Chambon & William Belvie, Expériences extraordinaires autour de la mort, réflexion d’un psychiatre sur la science de l’au-delà, Guy Trédaniel éditeur, pp 83-84

 

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