Les ondes scalaires
La télépathie « est probablement le domaine de la parapsychologie qui a été le plus étudié et qui a obtenu le plus de résultats statistiquement significatifs. A noter que les précautions prises par les chercheurs dans ce domaine, ainsi que la rigueur dont ils font preuve, dépassent souvent, et de loin, celles prises dans n’importe quel laboratoire étudiant un domaine plus classique… Aujourd’hui, une hypothèse plausible postule que la télépathie pourrait avoir comme support un type particulier d’ondes appelées « ondes scalaires ». Ces ondes en provenance du cosmos formeraient un « bruit de fond » permanent dans notre environnement et seraient continuellement réémises par les roches, l’eau, les végétaux, les animaux et les humains. C’est le physicien Nicolas Tesla qui le premier mit en évidence ce rayonnement dans les années 1900 et en définit les propriétés. » (1)
Les champs morphogénétiques
Quand on parle de télépathie, on évoque aussi souvent les champs morphogénétiques. Selon cette théorie développée par le biologiste Rupert Sheldrake, il existerait des champs de conscience qui relieraient tous les individus d’une même espèce. D’autres champs morphogénétiques pourraient ensuite relier des sous-groupes, voire même des espèces différentes, comme les animaux domestiques avec leurs propriétaires.
Une capacité naturelle
En tous les cas, la télépathie semble, au final, être un phénomène tout à fait naturel facilitant la survie de l’espèce. Il débuterait déjà au stade intra-utérin, le bébé compensant ses sens peu développés par cette capacité paranormale. En venant au monde, l’enfant continuerait ensuite à utiliser le mode de communication télépathique avec sa mère pour des échanges émotionnels, sensoriels et psychiques. On va alors parler « d’intuition féminine » qui est un phénomène qui apparaît tout à fait normal pour le plus grand nombre malgré ses indéniables sous-entendus paranormaux.
Peu à peu, jusqu’à l’âge de quatre ans, l’enfant va abandonner ce mode de communication pour mieux s’intégrer dans sa famille et dans la société. Il réalise en effet en grandissant que la communication par la parole est bien plus simple, plus efficace et mieux admise dans notre société que l’usage de la télépathie !
Alexandra Urfer Jungen
1) Sylvie Déthiollaz, Claude Charles Fourrier, Voyage aux confins de la conscience, Guy Trédaniel éditeur, 2016, p.97
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