- Tout en étant bienveillant et à l’écoute des expériences vécues, aider l’enfant à s’ancrer dans notre réalité et l’aider à concrétiser les visions d’entraide ou de protection de la nature qu’il développe souvent suite à ses sorties de corps.
- Les sorties de corps peuvent aussi avoir (comme les expériences de mort imminente) des aspects très effrayants. Beaucoup témoignent s’être retrouvés dans un lieu totalement obscur et froid, dans une totale solitude et avec une sensation d’étouffement. Une situation qui peut engendrer un fort état de panique. Aider dans ce cas l’enfant à visualiser la Lumière : « Il existe une catégorie d’EMI négatives [et OBE négatives] au cours desquelles les témoins restent eux aussi bloqués dans cette phase [dans un espace totalement noir] qu’ils vivent avec effroi, comme si c’était leur « sort pour l’éternité ». Là encore, c’est leur état psychologique et émotionnel juste avant l’EMI (perturbations diverses, refus de perdre le contrôle, peur de mourir ou encore de l’inconnu, etc.) qui semble créer ce blocage. En effet, il suffit souvent que la personne accepte de s’abandonner à l’expérience pour que celle-ci devienne instantanément positive ». (1)
- La méditation semble aussi une bonne technique pour intégrer plus facilement l’expérience de sortie du corps. Pour ceux qui ont de la peine à rester tranquille, la pratique des arts martiaux, de la danse ou de toute autre activité incluant le mouvement est une bonne alternative.
1) Sylvie Déthiollaz, Claude Charles Fourrier, Voyage aux confins de la conscience, Guy Trédaniel éditeur, 2016, p.99
Pour en savoir plus, voir aussi les pages : « Comment apparaît l’enfant qui a des sorties de corps« , « Comment se sent l’enfant qui a des sorties de corps » et « Comment aider l’enfant qui a des capacités extra-sensorielles«
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