Le parasitage par les élémentaux

 

« Il s’agit des esprits de la nature, c’est-à-dire des substances spirituelles qui viennent de l’eau, de l’air ou du feu. Certains les nomment les sylphes, les elfes, les fées de l’air, les vouivres, les ondines, les sirènes, les fées de l’eau, les dévas de l’eau, les lutins, les gnomes, les trolls, les faunes, les fées de la terre, les salamandres, les fées du feu… Si tous ces termes appartiennent à l’imaginaire de nombreuses civilisations, je traite les élémentaux comme n’importe quelle entité. Ils peuvent s’attacher à une personne ou à un groupe de personnes, sans avoir la faculté de s’en nourrir physiquement. Ils restent à la surface énergétique. Ils peuvent vivre du dégagement de certaines odeurs. D’ailleurs, faire brûler de l’encens pontifical va permettre de nourrir les élémentaux dans un lieux. Parfois facétieux ou malins, ils feraient disparaître puis réapparaître des objets.

De simples « prières de délivrance » suffisent à débarrasser la victime de ce genre de manifestations. »

 

Tiré de l’ouvrage : Père Georges de Saint Hirst, L’exorcisme, guérison des maladies de l’âme, entretiens avec Julie Klotz, Guy Trédaniel éditeur, 2018, p.102