Le Père George de Saint Hirst continue la liste des envoûtements avec l’entrave dans le travail.
« Ces entraves sont utilisées pour neutraliser un individu – le commerçant concurrent ou le collègue dérangeant – ou pour se venger de quelque chose. Elles isolent petit à petit la victime qui se retrouve sans amis et sans travail. Plus le mal-être grandit en elle, plus elle devient agressive, plus elle sombre dans la dépression menant au suicide. Certains vont même jusqu’à ne plus s’alimenter. Ce qui était anodin au départ – isoler la personne et non lui nuire – peut devenir mortel.
Toutes ces programmations peuvent être directes, ou indirectes réalisées par un tiers. Dans ce cas, le commanditaire a simplement pour mission d’être auprès de sa victime, et le tiers intervient pour jeter le sort. Ce dernier utilise les mêmes outils qu’un barreur de feu. Comment cela fonctionne-t-il ? Capable de changer la fréquence de ses ondes cérébrales, ce dernier envoie à distance une programmation positive pour calmer la brûlure et soigner. Certains services des grands brûlés, en France comme en Suisse, requièrent cette aide… L’auteur du sortilège, quant à lui, va envoyer une programmation négative : « Ton cœur sera vide, froid et solitaire et ne sera plus aimé. Par les esprits infernaux et le chiffre et la bête 666, Satan vient à nous… » C’est la situation émotionnelle de la victime qui va permettre ou pas le succès de l’opération. Si elle est prédisposée, pas besoin de créer un choc extérieur ; une maladie, un deuil ou un divorce peuvent suffire. Rien de plus facile pour quelqu’un déjà « négatif » d’attirer du négatif. Au contraire, chez une personne plus solide et ancrée, il va falloir la déstabiliser émotionnellement pour créer la faille et « ouvrir la porte ». Un simple excès de colère peut créer la faille et « ouvrir la porte ».
Pour soulager la victime, je procède à l’imposition des mains avec des « prières de délivrance ». Une fois suffit, sauf cas exceptionnel. »